Si vous êtes sur le point d’opter pour une intervention de chirurgie esthétique de votre poitrine, vous avez certainement un grand nombre d’interrogations et cela est totalement normal. L’inverse le serait moins.
Il existe des questions de choix de taille, de forme, de type d’augmentation par prothèse ou par injection… mais il existe aussi de nombreuses questions sur l’après…
Toutes les questions sur l’après augmentation mammaire.
C’est aussi pour cela que nous préconisons au moins deux rendez vous avant une intervention afin d’opter pour la meilleure solution pour vous mais aussi afin de lever tout doutes ou questionnements.
Toutefois, certaines questions, surtout concernant l’augmentation mammaire, sont plus fréquentes.
Voici donc quelques réponses que je serai ravi de développer avec vous lors du premier rendez vous préparatoire.
Est ce une opération est douloureuse ?
La problématique de la douleur est toujours la plus évoquée. Là encore, rien de plus normal que de rechercher le meilleur confort tout en étant consciente que pour toute intervention chirurgicale, la sensation de douleur est très fréquente.
Il n’existe pas de réponse universelle, puisque vous n’êtes pas égales face à cette sensation.
Toutefois, sachez que dans le cas d’une augmentation mammaire avec pose de prothèses sous le muscle pectoral, il est assez courant de ressentir des douleurs plus vives pendant quelques jours après l’intervention.
A contrario, l’augmentation mammaire par lipofilling ( ou injection de graisse) est la mieux acceptée puisque ne demandant pas de chirurgie lourde.
Aurai-je des cicatrices visibles ?
Là encore, il s’agit d’une question très fréquente et pour cause. L’augmentation mammaire est bien souvent un acte d’estime de soi et de quête de beauté. Vous souhaitez donc connaître l’ensemble des conséquences possible parmi lesquelles les cicatrices. Je vous renvoi vers cet article que je vous ai proposé il y a quelques semaines concernant les cicatrices et l’augmentation mammaire.
Peut-on allaiter après une augmentation mammaire ?
Voici sans doute la question la plus posée par les plus jeunes d’entre vous qui songent à l’augmentation mammaire. La réponse est simple et sans équivoque : la pose de prothèse mammaire ne comporte aucun effet négatif sur le sein donc OUI l’allaitement est possible de la même façon qu’une poitrine non opérée.
Augmentation mammaire et grossesse sont elles compatibles ?
Vous pourrez sans soucis envisager une grossesse normale après une intervention. Toutefois, vous le savez, le corps et surtout la poitrine se modifient pendant cette période. Ce point doit être pris en compte lors de votre réflexion. De même, je préconise de laisser un délai de 9 à 12 mois une opération de la poitrine et une future grossesse.
Garde-t-on les prothèses à vie ?
Non, les prothèses posées sont constituées en général d’une enveloppe en silicone. Cette matière va connaitre une usure normale et progressive que chaque chirurgien maîtrise. On considère la durée de vie d’une prothèse mammaire d’environ 10 à 15 années. Au delà il faudra envisager son remplacement.
Les rapports sexuels post augmentation mammaire ?
C’est une question parfois un peu tabou mais qu’il est légitime de se poser.
Physiologiquement, il n’existe bien sûr aucune contre indication aux rapports sexuels après une intervention mammaire.
Toutefois, comme vu plus haut, la poitrine sera douloureuse ou sensible pendant plusieurs jours ou semaines. Il faut donc éviter les coups, les gestes un peu brusques ou les massages trop appuyés pour éviter la sensation de douleur. Tout comme certaines pratiques sportives sont peu recommandées et le port de la brassière quasi obligatoire, certaines pratiques ou positions seront à proscrire et il est conseiller de conserver un soutien gorge adapté le plus possible ( de nouvelles formes et matières arrivent !)
Existe-t-il des risques pour ma santé avec les prothèses mammaires ?
Alors que l’on vous sollicite énormément au dépistage du cancer du sein, il peut être légitime de se poser la question de l’interaction des prothèses sur la santé. A ce jour, et malgré de très nombreuses études scientifiques sérieuses, il n’existe aucun liens entre prothèse mammaire et risque accru de cancer du sein.
Les nouvelles prothèses sont parfaitement adaptées aux interventions. Si toutefois cette éventualité vous angoisse, je vous invite alors à envisager l’augmentation mammaire par injection de graisse.
Existe-t-il des contre-indications dans la vie de tous les jours ?
Une fois l’intervention réalisée et le temps de cicatrisation respecté, il n’existe aucune pratique qui vous soit interdit; Vous pourrez tous les sports y compris ceux exerçant une forte pression ( plongée, chute libre…) ou ceux encourant des risques de coups ( boxe, équitation, VTT, sports collectifs etc..).
De même dans la vie courante, vous pourrez prendre l’avion sans aucun risque ( la pression dans l’avion est la même que sur terre, c’est le principe d’une cabine pressurisée) ou encore bronzer sur la plage seins nus ( respectez bien le temps de cicatrisation et pensez à protéger votre peau et cicatrices plus que sur les autres zones pendant la première année)
Mais n’hésitez pas à prendre contact avec mon cabinet pour faire le point sur toutes ces questions et celles qui vous sont personnelles.
Le jeudi 8 novembre, j’aurai le plaisir de participer à une interview organisée par le magazine Anti-âge.
Nous y parlerons des différentes solutions proposées pour lutter contre la cellulite.
Retrouvez cette communication sur la page Facebook du magazine et Le siparticipez via le réseau social en posant dès à présent vos questions.
“Le Docteur Antoine Alliez, spécialiste en chirurgie plastique et reconstructrice, vous présentera une solution qui a su faire ses preuves auprès des femmes. ➡️ Partagez vos interrogations personnelles et 3 commentaires seront soumis directement à l’expert. 📽️ Lors de cette interview, le Docteur Antoine Alliez répondra donc à 3 d’entre vous. ”
La cryolipolyse et la cryothérapie sont deux procédés utilisant le froid intense dans un but médical. Elles connaissent toutes les deux un vrai succès d’estime au près du grand public. Mais connaissez vous bien les différences majeures de ces 2 approches, d’autant que l’objectif à atteindre est très différent en fonction de l’une ou l’autre. Cette petite mise au point est surtout destinée à lever les doutes persistants sur la méthode la plus adaptée au traitement du surpoids.
La cryothérapie : quelles sont ses spécificités ?
A la base, la cryothérapie est surtout pratiquée pour traiter des lésions et apaiser les douleurs musculaires.
Elle est aujourd’hui très utilisée par les sportifs de haut niveau suite à une grosse charge de pratique traumatisante ou dans le cadre d’un entrainement spécifique. Mais tous les sportifs n’y ont pas recours de façon systématique ni régulière. Le suivi doit être fait de façon médical et organisé dans la pratique.
Depuis peu, l’utilisation de la cryothérapie est aussi apparue dans la quête de la perte de poids.
Avec la cryothérapie, le patient entre dans une cabine, debout avec la tête à l’extérieur. Un froid sec est alors diffusé dans la cabine (les températures peuvent descendre jusqu’à -150°C) pendant environ 1 minute 30 à 3 minutes. La température du corps reste la même et les extrémités du corps sont protégées.
La cryothérapie crée un choc thermique qui oblige le corps à brûler des graisses pour se réchauffer.
Il s’agit donc d’un traitement “général” basé sur l’effort fait par le corps pour lutter contre le froid et brûler les graisses superflues.
Cela est indiscutable. Toutefois, l’effet à court terme pour cet objectif semble moins évident, comme le fait de traiter de façon précise une zone ciblée de corps.
La cryothérapie permettrait de se débarrasser de la graisse mais diminuerait également la cellulite. A noter que la cryothérapie élimine les toxines de la cellulite mais pas l’effet peau d’orange qui l’accompagne. Cette technique n’élimine pas la graisse sous-cutanée.
Une séance de cryothérapie s’effectue dans une clinique, dans un institut de beauté ou encore dans des centres de thalassothérapie et de cryothérapie spécialisés.
La cryolipolyse, un traitement vraiment efficace !
La cryolipolyse est une technique différente et dont l’efficacité à été démontré depuis de nombreuses années. Egalement appelée coolsculpting, cette méthode nécessite que la zone à traiter possède un bourrelet de graisse d’un minimum de 3 cm d’envergure pour être réalisée. Lors de la séance, le pli graisseux est aspiré à l’aide d’une ventouse (criode) qui “congèle” la partie du corps de laquelle la patiente souhaite diminuer le volume graisseux.
Pour réaliser une séance de cryolipolyse, il faut utiliser un appareillage spécifique : le Zeltiq, seul objet du genre sur le marché de l’esthétique à l’heure actuelle. Cette machine équipée de ventouses permet de s’adapter à la zone du corps traitée et d’évaluer la température idéale à utiliser selon l’épaisseur des tissus du patient.
Ainsi, les cellules graisseuses sont détruites mais la peau du patient ne subit aucun dommage (lésions ou brûlures).
Il est possible de traiter plusieurs zones avec la cryolipolyse :
jambes
bras
ventre
fesses
Après la séance, la peau est toujours “congelée”, il convient donc de la réchauffer, de lui rendre son aspect normal et de retendre les tissus.
La cryolipolyse permet d’éliminer, en 3 séances maximum, avec deux mois d’intervalles plus de 80% des cellules graisseuses de la zone traitée. C’est une solution qui permet d’éviter le recours à une liposuccion ou tout autre opération de chirurgie esthétique plus lourde. Elle est donc réalisée dans le cabinet, de façon plus simple et légère.
La graisse sous-cutanée est immédiatement détruite et ne se régénère pas. Ainsi, le résultat est visible au bout d’à peine quelques semaines.
Retrouvons nous dans quelques jours au Salon du Bien-être et de l’Art de vivre à Ajaccio : O’Zen per voï
Pendant 3 jours, du 21 au 23 septembre 2018, dans le cadre du Palais des Congrès d’Ajaccio, de nombreux professionnels de différents horizons se retrouvent pour échanger avec les visiteurs sur les médecines naturelles, la détente, la nutrition, la remise en forme, la relaxation, la santé et bien sûr la beauté.
Conférence débat sur la médecine esthétique
J’animerai une conférence-débat samedi 22 septembre à 14h00 dans la salle Henri Matisse avec ma consœur Andrea Vincitella.
Je serai heureux de vous y retrouver pour évoquer les nouvelles techniques de Chirurgie et Médecine Esthétique et en particulier la nouvelle technique de lutte contre la transpiration excessive des aisselles : le Miradry.
Cet appareillage permet un traitement quasi définitif des problèmes de transpiration excessive. Il s’agit d’une exclusivité que je souhaite présenter, tant elle rend un résultat impressionnant et résout bien des problèmes d’estime de soi ou de présentation en public. Cela intéressera sans doute les publics féminins et masculins.
Retrouvez le programme complet de l’édition 2018 du Salon du Bien-être O’Zen per voï ICI
Si la transpiration est un phénomène naturel, elle peut parfois s’avérer assez handicapante dans la vie professionnelle ou quotidienne.
Aujourd’hui, il existe de multiples façons de lutter contre la transpiration excessive, en particulier concernant les aisselles.
Le dispositif Miradry est la dernière innovation en matière de lutte contre la transpiration.
D’où vient la transpiration ?
Lorsque le corps est en surchauffe, il tente de réduire sa température en produisant de la sueur.
La transpiration est produite par les glandes sudoripares. Il en existe deux types :
les glandes eccrines qui servent à réguler la température du corps en sécrétant un liquide clair,
et les glandes apocrines qui sécrètent un liquide légèrement plus épais provoquant les odeurs de transpiration.
Comment fonctionne le Miradry ?
Miradry est un dispositif qui permet de lutter contre la transpiration des aisselles.
Technologie brevetée, Miradry est une solution innovante qui utilise une pièce à main ( le bioTip) pour mieux cibler les glandes sudoripares des aisselles.
Miradry permet d’éliminer, en une seule séance :
plus de 80% de la transpiration en moyenne
plus de 80% des odeurs liées à la transpiration
et plus de 70% des poils en moyenne
Miradry fonctionne grâce aux ondes ultra-courtes qui permettent d’éliminer, et ce de manière définitive, les glandes sudorales. Le corps humain peut compter jusqu’à 4 millions de glandes sudorales et avec Miradry, il est possible d’éliminer les 2% qui se trouvent sous vos aisselles.
Pour qui est fait ce traitement ?
Aujourd’hui, plus d’une personne sur deux avoue s’être déjà senti gênée par une odeur de transpiration ou des auréoles sur leurs vêtements. Miradry peut être utilisé sur toute personne souhaitant agir sur sa transpiration, qu’elle soit excessive ou non.
Le traitement est également efficace pour les personnes souffrant d’hyperhidrose, qui se caractérise par une transpiration excessive en toute circonstance. Que vous souhaitiez traiter une affection gênante ou tout simplement ne plus transpirer, vous avez la possibilité de tester Miradry.
Comment se passe la séance ?
Le patient doit se raser les aisselles environ 4 jours avant la séance. Ensuite, il faut procéder à une anesthésie locale car le traitement peut s’avérer quelque peu inconfortable. Pour cela, un calque est apposé sur la zone à traiter pour déterminer avec précision les points d’injection.
Il est possible d’appliquer un lubrifiant directement sur la peau du patient afin d’assurer une bonne étanchéité entre la peau et le bioTip. Le traitement débute ensuite. La pièce à main est appliquée sur l’aisselle du patient et elle chauffe puis refroidit les glandes sudoripares qui se trouvent sous la peau des aisselles. L’appareil dispose d’une profondeur de pénétration d’environ 5 mm afin d’atteindre de manière efficace les glandes et de les détruire de manière définitive. Cela peut durer entre une heure et 75 minutes.
Une fois la séance terminée, des poches de glace sont placées sous les aisselles du patient.
Les suites opératoires
Quelques gonflements et des rougeurs peuvent être observés sur les aisselles du patient. Cela peut durer une dizaine de jours. Le patient se voit prescrire des poches de glace à appliquer sur ses aisselles pendant une demi-heure lors des trois jours suivants la séance.
Il est conseillé de ne pas pratiquer de sport pendant la semaine qui suit le traitement Miradry.
Une nette amélioration de la production de transpiration est visible. Les effets du traitement sont immédiats et durables. Si le patient souffre d’hyperhidrose, il peut lui être conseillé de revenir 3 mois plus tard pour une nouvelle séance.
L’augmentation mammaire est l’opération de chirurgie esthétique la plus couramment pratiquée en France avec la liposuccion. C’est aussi le cas dans le cabinet à Ajaccio.
Pour certaines patientes, cette intervention est synonyme de douleurs importantes qui peuvent durer de 2 à 3 semaines ainsi que de multiples ecchymoses et d’un long séjour au lit.
Ainsi, la source de stress est réelle et peut décourager de façon définitive certaines candidates à une poitrine plus volumineuse.
Il est avant tout très important de noter que nous ne sommes pas tous égaux face à la douleur ! Après chaque intervention, la réaction de chaque patiente est différente.
Mais grâce aux techniques modernes, il est désormais possible de pratiquer une augmentation mammaire sans ressentir de fortes douleurs.
Préparer l’intervention
Il est nécessaire de procéder à une planification approfondie de l’intervention, principalement en ce qui concerne le type et le volume de l’implant. Lors de la consultation, il convient de prendre des mesures de la poitrine de la patiente puis celle-ci essaie des implants. Le chirurgien peut également simuler l’apparence de la nouvelle poitrine grâce à un outil de simulation 3D en fonction des implants qui ont été retenus. C’est une étape cruciale car elle aide la patiente à avoir une idée concrète de ce à quoi va ressembler sa poitrine après l’intervention mais aussi le chirurgien à avoir une bonne idée des résultats escomptés par la patiente après la chirurgie. Cela permet aussi de définir l’incision qui va pratiquer sur la poitrine de la patiente en fonction du choix des implants mammaires mais aussi de l’élasticité des tissus, tout cela en conservant à l’esprit la recherche de la plus petite cicatrice possible et le résultat le moins douloureux possible
Pendant l’augmentation mammaire
Avant de débuter l’opération en elle-même, il faut injecter des anesthésiques longue durée à la patiente qui permettent de prévenir la douleur des différents gestes chirurgicaux et qui aident à traiter la douleur post-opératoire durant les 24 heures qui suivent. Lors d’une augmentation mammaire, les tissus subissent forcément des blessures mais en prenant garde de les blesser le moins possible, la récupération est améliorée et provoque moins de douleurs chez la patiente. Grâce au développement d’une technique atraumatique (qui permet de perdre peu de sang durant l’opération) et d’outils particulièrement conçus dans cette optique, la prothèse mammaire est préparée avec soin à l’intérieur même de la poitrine et cela engendre des meurtrissures moindres sur la peau.
Après l’opération, en raison de la méthode atraumatique mise en place, les drains ne sont laissés que 12 à 24 heures et, la plupart du temps, il n’y a pas de pose d’un pansement compressif.
Un soutien-gorge de maintien est mis en fin d’intervention. Grâce à cette technique, il est possible de lever les bras très peu de temps après l’intervention.
Augmentation mammaire et lipofilling
Le lipofilling mammaire permet d’augmenter visiblement le volume de la poitrine sans avoir recours à une opération chirurgicale ou à la pose d’implants. On parle alors d’augmentation mammaire par injection de graisse. Il s’agit d’injections de la propre graisse de la patiente directement dans la poitrine. S’il n’y a pas de contre indication liée à l’âge, il faut néanmoins que la patiente dispose d’une réserve de graisse suffisante pour réaliser cette intervention.
En règle générale, il faut que la patiente subisse d’abord une liposuccion d’environ 700 ou 800 ml de graisse. Cette opération permet de régler deux problèmes : une surcharge graisseuse localisée et un volume de seins jugé trop petit.
Les suites opératoires du lipofilling sont beaucoup moins contraignantes car cela ne nécessite aucune réelles interventions “lourdes”. De plus, cette intervention ne laisse pas de cicatrice et il n’existe pas de risque de coque mammaire ou de voir l’implant bouger. Il est vrai que l’augmentation du volume mammaire reste limitée avec cette méthode (bonnet B, C ou D maximum).
Les douleurs au niveau de la poitrine sont moins importantes avec cette méthode qu’après la mise en place d’implants mammaires.
En conclusion
Finalement, la combinaison de différentes techniques atraumatiques permet de diminuer de façon spectaculaire les douleurs liées à l’augmentation mammaire.Mais il est impossible de garantir l’absence totale de ces gênes. Le lipofilling est également une technique moins traumatisante pour les tissus cutanés de la poitrine et qui conviendra à de nombreuses patientes.
Si vous voulez en savoir plus sur les différentes méthodes de l’augmentation mammaire et la gestion de la douleur au cas par cas, je vous invite à me contacter à mon cabinet d’Ajaccio.
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