Si la transpiration est un phénomène naturel, elle peut parfois s’avérer assez handicapante dans la vie professionnelle ou quotidienne.
Aujourd’hui, il existe de multiples façons de lutter contre la transpiration excessive, en particulier concernant les aisselles.
Le dispositif Miradry est la dernière innovation en matière de lutte contre la transpiration.
D’où vient la transpiration ?
Lorsque le corps est en surchauffe, il tente de réduire sa température en produisant de la sueur.
La transpiration est produite par les glandes sudoripares. Il en existe deux types :
les glandes eccrines qui servent à réguler la température du corps en sécrétant un liquide clair,
et les glandes apocrines qui sécrètent un liquide légèrement plus épais provoquant les odeurs de transpiration.
Comment fonctionne le Miradry ?
Miradry est un dispositif qui permet de lutter contre la transpiration des aisselles.
Technologie brevetée, Miradry est une solution innovante qui utilise une pièce à main ( le bioTip) pour mieux cibler les glandes sudoripares des aisselles.
Miradry permet d’éliminer, en une seule séance :
plus de 80% de la transpiration en moyenne
plus de 80% des odeurs liées à la transpiration
et plus de 70% des poils en moyenne
Miradry fonctionne grâce aux ondes ultra-courtes qui permettent d’éliminer, et ce de manière définitive, les glandes sudorales. Le corps humain peut compter jusqu’à 4 millions de glandes sudorales et avec Miradry, il est possible d’éliminer les 2% qui se trouvent sous vos aisselles.
Pour qui est fait ce traitement ?
Aujourd’hui, plus d’une personne sur deux avoue s’être déjà senti gênée par une odeur de transpiration ou des auréoles sur leurs vêtements. Miradry peut être utilisé sur toute personne souhaitant agir sur sa transpiration, qu’elle soit excessive ou non.
Le traitement est également efficace pour les personnes souffrant d’hyperhidrose, qui se caractérise par une transpiration excessive en toute circonstance. Que vous souhaitiez traiter une affection gênante ou tout simplement ne plus transpirer, vous avez la possibilité de tester Miradry.
Comment se passe la séance ?
Le patient doit se raser les aisselles environ 4 jours avant la séance. Ensuite, il faut procéder à une anesthésie locale car le traitement peut s’avérer quelque peu inconfortable. Pour cela, un calque est apposé sur la zone à traiter pour déterminer avec précision les points d’injection.
Il est possible d’appliquer un lubrifiant directement sur la peau du patient afin d’assurer une bonne étanchéité entre la peau et le bioTip. Le traitement débute ensuite. La pièce à main est appliquée sur l’aisselle du patient et elle chauffe puis refroidit les glandes sudoripares qui se trouvent sous la peau des aisselles. L’appareil dispose d’une profondeur de pénétration d’environ 5 mm afin d’atteindre de manière efficace les glandes et de les détruire de manière définitive. Cela peut durer entre une heure et 75 minutes.
Une fois la séance terminée, des poches de glace sont placées sous les aisselles du patient.
Les suites opératoires
Quelques gonflements et des rougeurs peuvent être observés sur les aisselles du patient. Cela peut durer une dizaine de jours. Le patient se voit prescrire des poches de glace à appliquer sur ses aisselles pendant une demi-heure lors des trois jours suivants la séance.
Il est conseillé de ne pas pratiquer de sport pendant la semaine qui suit le traitement Miradry.
Une nette amélioration de la production de transpiration est visible. Les effets du traitement sont immédiats et durables. Si le patient souffre d’hyperhidrose, il peut lui être conseillé de revenir 3 mois plus tard pour une nouvelle séance.
L’augmentation mammaire est l’opération de chirurgie esthétique la plus couramment pratiquée en France avec la liposuccion. C’est aussi le cas dans le cabinet à Ajaccio.
Pour certaines patientes, cette intervention est synonyme de douleurs importantes qui peuvent durer de 2 à 3 semaines ainsi que de multiples ecchymoses et d’un long séjour au lit.
Ainsi, la source de stress est réelle et peut décourager de façon définitive certaines candidates à une poitrine plus volumineuse.
Il est avant tout très important de noter que nous ne sommes pas tous égaux face à la douleur ! Après chaque intervention, la réaction de chaque patiente est différente.
Mais grâce aux techniques modernes, il est désormais possible de pratiquer une augmentation mammaire sans ressentir de fortes douleurs.
Préparer l’intervention
Il est nécessaire de procéder à une planification approfondie de l’intervention, principalement en ce qui concerne le type et le volume de l’implant. Lors de la consultation, il convient de prendre des mesures de la poitrine de la patiente puis celle-ci essaie des implants. Le chirurgien peut également simuler l’apparence de la nouvelle poitrine grâce à un outil de simulation 3D en fonction des implants qui ont été retenus. C’est une étape cruciale car elle aide la patiente à avoir une idée concrète de ce à quoi va ressembler sa poitrine après l’intervention mais aussi le chirurgien à avoir une bonne idée des résultats escomptés par la patiente après la chirurgie. Cela permet aussi de définir l’incision qui va pratiquer sur la poitrine de la patiente en fonction du choix des implants mammaires mais aussi de l’élasticité des tissus, tout cela en conservant à l’esprit la recherche de la plus petite cicatrice possible et le résultat le moins douloureux possible
Pendant l’augmentation mammaire
Avant de débuter l’opération en elle-même, il faut injecter des anesthésiques longue durée à la patiente qui permettent de prévenir la douleur des différents gestes chirurgicaux et qui aident à traiter la douleur post-opératoire durant les 24 heures qui suivent. Lors d’une augmentation mammaire, les tissus subissent forcément des blessures mais en prenant garde de les blesser le moins possible, la récupération est améliorée et provoque moins de douleurs chez la patiente. Grâce au développement d’une technique atraumatique (qui permet de perdre peu de sang durant l’opération) et d’outils particulièrement conçus dans cette optique, la prothèse mammaire est préparée avec soin à l’intérieur même de la poitrine et cela engendre des meurtrissures moindres sur la peau.
Après l’opération, en raison de la méthode atraumatique mise en place, les drains ne sont laissés que 12 à 24 heures et, la plupart du temps, il n’y a pas de pose d’un pansement compressif.
Un soutien-gorge de maintien est mis en fin d’intervention. Grâce à cette technique, il est possible de lever les bras très peu de temps après l’intervention.
Augmentation mammaire et lipofilling
Le lipofilling mammaire permet d’augmenter visiblement le volume de la poitrine sans avoir recours à une opération chirurgicale ou à la pose d’implants. On parle alors d’augmentation mammaire par injection de graisse. Il s’agit d’injections de la propre graisse de la patiente directement dans la poitrine. S’il n’y a pas de contre indication liée à l’âge, il faut néanmoins que la patiente dispose d’une réserve de graisse suffisante pour réaliser cette intervention.
En règle générale, il faut que la patiente subisse d’abord une liposuccion d’environ 700 ou 800 ml de graisse. Cette opération permet de régler deux problèmes : une surcharge graisseuse localisée et un volume de seins jugé trop petit.
Les suites opératoires du lipofilling sont beaucoup moins contraignantes car cela ne nécessite aucune réelles interventions « lourdes ». De plus, cette intervention ne laisse pas de cicatrice et il n’existe pas de risque de coque mammaire ou de voir l’implant bouger. Il est vrai que l’augmentation du volume mammaire reste limitée avec cette méthode (bonnet B, C ou D maximum).
Les douleurs au niveau de la poitrine sont moins importantes avec cette méthode qu’après la mise en place d’implants mammaires.
En conclusion
Finalement, la combinaison de différentes techniques atraumatiques permet de diminuer de façon spectaculaire les douleurs liées à l’augmentation mammaire.Mais il est impossible de garantir l’absence totale de ces gênes. Le lipofilling est également une technique moins traumatisante pour les tissus cutanés de la poitrine et qui conviendra à de nombreuses patientes.
Si vous voulez en savoir plus sur les différentes méthodes de l’augmentation mammaire et la gestion de la douleur au cas par cas, je vous invite à me contacter à mon cabinet d’Ajaccio.
La liposuccion douce est une technique qui permet des interventions ambulatoires, sans anesthésie générale. Elle attire de plus en plus de patients souhaitant supprimer un amas graisseux localisé, perdre une taille de vêtement ou tout simplement remodeler leur silhouette. Quels résultats est-il possible d’obtenir grâce à la liposculpture ?
Le principe de la liposuccion douce
La liposuccion douce est particulièrement adaptée aux patients souhaitant résorber une accumulation de graisse bien localisée. Il est possible de réaliser cette technique sur plusieurs zones du corps sans hospitalisation de nuit. Si les résultats sont immédiatement visibles, il convient tout de même d’attendre quelques semaines pour apprécier l’amincissement entraîné par la liposuccion douce. Les hématomes ont alors tous disparu, l’oedème s’est résorbé et la peau a repris sa place.
Les mois suivant l’intervention, les cellules adipeuses qui ont été décollées mais non aspirées sont évacuées de manière naturelle par l’organisme, ce qui contribue également à un amincissement de la silhouette non négligeable et appréciable.
C’est une méthode qui permet de faire disparaître à la fois la graisse superficielle et la graisse profonde sans agressivité.
Quelles zones sont concernées ?
Grâce à la liposuccion douce, plusieurs parties du corps peuvent être amincies :
les hanches
l’abdomen
la culotte de cheval
les jambes, notamment au niveau des cuisses et des genoux
le menton et le cou
L’utilisation de seringues plus fines et l’injection d’une solution anesthésique et hémostatique permet des gestes plus délicats et donc de pouvoir travailler sur des zones plus délicates comme le devant de la cuisse ou encore l’ovale du visage.
Associer liposuccion et liposculpture
Si la liposuccion concerne un trop grand nombre de zones, alors l’anesthésie générale est privilégiée. L’intervention s’effectue, dans ce cas, en ambulatoire. Lors de la première consultation, une liposculpture peut vous être proposée en sus de la liposuccion douce selon votre morphologie, votre état de santé et surtout selon les résultats souhaités. Il est alors possible d’associer une liposculpture à la liposuccion.
Liposculpure et lipofilling
La liposculpture est une prise en charge de la totalité de la silhouette utilisant la technique du lipofilling, visant à réinjecter au patient sa propre graisse dans le but de remodeler et d’augmenter le volume d’une zone. Cela se voit beaucoup en chirurgie mammaire, notamment. Le lipofilling permet aussi de regalber les fessiers et de rééquilibrer totalement la silhouette.
La graisse aspirée lors de la liposuccion est purifiée puis réinjectée dans les diverses partie du corps où il faut combler un creux ou au contraire créer un volume. Le lipofilling permet aussi de repulper des joues ayant tendance à se creuser ou même le creux orbitaire en cas de cernes très marqués ou de blépharoplastie (chirurgie des paupières) réalisée de manière trop agressive.
Suites opératoires
Le patient peut reprendre une activité professionnelle dès le lendemain de l’intervention. Il est possible néanmoins que quelques jours de repos lui soit nécessaire. Après la liposculpture, quelques oedèmes ou hématomes peuvent apparaître. Cela dure en général quelques semaines, deux en moyenne, puis les signes de l’opération disparaissent petit à petit. Il est conseillé de porter des vêtements de contention dans les semaines suivant l’opération. La liposculpture laisse peu de cicatrices. Elles finissent par s’atténuer et disparaissent même avec le temps.
Du 26 avril au 1 mai 2018 se tenait à New York le congrès de l’ASAPS ou American Society for Aesthetic Plastic Surgery.
Voici en quelques lignes mon retour sur ces quelques jours très enrichissants.
American Society for Aesthetic Plastic Surgery
Cette grande messe annuelle se déroule chaque année aux Etats Unis. Elle permet d’y retrouver de nombreux confrères du monde entier et d’y confronter des idées, connaissances et pratiques.
C’est aussi une occasion unique de comparer les tendances de la chirurgie esthétique, avec la confrontation de plus en plus nette entre le courant » nord américain » et la « French Touch » !
Participer a ce meeting une fois par an permet bien évidement de participer à des conférences et débats sur de nouvelles technologies ou l’utilisation spécifiques d’un produits pour un effet nouveau.
Impossible de résumer en quelques mots sur ce blog les différentes interventions auxquelles j’ai pu participer mais je voulais partager ici les grandes tendances du moment, selon l’avis de tous.
Les différentes tendances 2018/19
La liposuccion devient l’acte le plus demandé et le plus effectué en chirurgie esthétique, détrônant l’augmentation mammaire pourtant en tête des interventions depuis des années.
Les techniques de liposuccion sont de plus en plus efficaces et de plus en plus précises. Ainsi se développent de nouvelles pratiques comme la « Liposculpture » aussi appelée liposuccion douce.
Je reviendrais très rapidement sur cette technique de liposuccion très précise dans la zone à traiter et permettant de nouveaux résultats étonnants, intéressants de plus en plus la gente masculine pour des abdominaux toujours plus marqués.
Toujours dans les nouveautés validées à New York et dont je dispose dorénavant, de nouveaux appareillages pour la réinjection de graisse (notion de lipofilling) (poitrine, fesses) permettent une nouvelle qualité jsuque là jamais atteinte pour un résultat encore plus efficace.
A découvrir au cabinet en fonction de vos besoins bien sûr.
Comme évoqué dans ce précédent post du blog (relire : Augmentation mammaire et cicatrice) dès qu’une intervention chirurgicale est effectuée, les cicatrices sont inévitables.
Même si la chirurgie esthétique a fait de nombreux progrès à bien des niveaux ces dernières années, il restait un point sur lequel elle butait : la visibilité des cicatrices.
Focus aujourd’hui sur une technique mise au point pour favoriser la cicatrisation et obtenir des résultats encore plus esthétiques : la technique UrgoTouch.
La cicatrisation, phénomène normal
Peu importe la compétence du chirurgien, la cicatrisation est différente pour chacun. Si tout se passe bien dans la très grande majorité des cas, il peut aussi arriver que la cicatrisation soit plus compliquée ou plus longue comme par exemple les problèmes spécifiques liés au tabagisme. Il y a aussi des patients qui souhaitent que la cicatrice soit la moins visible possible. Les chirurgiens utilisent alors différentes techniques en pratiquant les incisions dans les plis naturels de la peau, sous les cheveux ou autres endroits les moins visibles possibles.
Certaines interventions nécessitent de plus « grandes » incisions plus difficilement dissimulables comme certaines chirurgies mammaires, les liftings corporels ou encore la plastie abdominale. Jusqu’alors, la seule façon d’améliorer l’aspect d’une cicatrice assez peu esthétique était d’intervenir après le processus de cicatrisation, soit un ou deux ans. UrgoTouch permet d’intervenir sur la cicatrice dès le jour de l’opération.
L’innovation UrgoTouch
Développée par le laboratoire français Urgo Médical, la technologie UrgoTouch permet d’améliorer le résultat du processus de cicatrisation grâce à un laser portatif. Le laser UrgoTouch est recommandé dans le traitement des cicatrices chirurgicales. Il tend à améliorer le résultat de la cicatrisation en une seule séance et ce dès la fin de l’opération, avant la phase inflammatoire. Il est particulièrement indiqué aux personnes qui présentent des difficultés de cicatrisation. Le laser UrgoTouch est le résultat de dix années de recherches d’experts du laser, de chirurgiens esthétiques et de dermatologues travaillant en étroite collaboration.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Pour en faciliter l’utilisation et le maintien, le laser portatif UrgoTouch est miniaturisé pour une meilleure prise en main du chirurgien. A la fin de l’intervention, au moment des sutures, le chirurgien utilise UrgoTouch . Il pose sur la cicatrice une bandelette qui contient des cartes à puce, lesquelles vont automatiser le balayage du laser et ainsi permettre de délivrer l’énergie nécessaire à la cicatrisation.
Le traitement au laser dure environ 12 secondes. L’énergie envoyée sous la peau stimule les protéines de choc thermique qui aident à combattre l’inflammation. La cicatrice sera de meilleure qualité, les fibres de collagènes contenues dans la peau sont moins traumatisées et plus organisées. Grâce à cette technique, il est possible d’améliorer l’aspect de la cicatrice à 40%. Ce traitement se déroule sous anesthésie et est parfaitement indolore.
L’utilisation du laser UrgoTouch est un vrai avantage concernant certaines chirurgies importantes. Il peut aussi être utilisé pour des cicatrices moins grandes comme celles visibles après une ablation de grain de beauté.
Le système laser UrgoTouch peut être utilisé sur tout type de peau. Son efficacité a été prouvée grâce à un test clinique effectué sur 40 personnes ayant expérimenté une réduction mammaire ou une opération au niveau abdominal à l’Hôpital de la Conception situé à Marseille.
Avec la technologie brevetée Scar Control System, la technique UrgoTouch ne nécessite pas de réglage particulier ou de paramétrage en amont. La procédure est complètement sécurisée et automatisée.
Précautions particulières
Il n’existe aucune précaution particulière à prendre pour profiter du traitement laser UrgoTouch autres que celles à prendre avant toute opération de chirurgie. Il faut prendre en compte un nombre d’éléments pour déterminer si le patient peut bénéficier du traitement comme ses antécédents d’affections dermatologiques, troubles de la cicatrisation, ou maladies auto-immunes ; les traitements pouvant interférer avec la cicatrisation ; l’absence d’implants, prothèses ou tatouages qui peuvent gêner les tissus échauffés par le laser.
Après l’intervention, il faut éviter d’exposer la cicatrice au soleil et il est d’ailleurs recommandé d’utiliser des protections à l’indice élevé (au moins 50) pendant au moins 6 mois. Il faut aussi penser à bien hydrater la zone traitée pour aider la peau à bien cicatriser et à se remettre. Il faut masser la cicatrice quotidiennement.
Il convient d’éviter de se baigner pendant les 6 semaines qui suivent l’intervention ou après accord du chirurgien. Il est conseillé d’éviter les mouvements trop amples car la cicatrice est encore fragile.
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